Mostapha Najem

Mostapha Najem est un étudiant suisse diplômé du master PBD en janvier 2016 et ayant bénéficié du programme VAE de l’Enssib. Il nous fait part de son parcours et de son expérience.

Mostapha Najem : des compétences professionnelles, pistes de réflexion pour de futurs projets

Comment avez-vous connu le programme VAE de l'Enssib et pourquoi l'avoir choisi depuis la Suisse ?

Je suis un fidèle élève de l’ENSSIB. J’avais fait auparavant quelques formations continues et j'apprécie la qualité de l’enseignement au sein de l’école. Je suis également de près les nouveautés en matière de sciences de l’information. J’étais intéressé par le diplôme Politique des bibliothèques et de la documentation (PBD) qui s’inscrit clairement dans mes fonctions actuelles, et j'ai découvert que ce diplôme pouvait être obtenu via le VAE. Entreprendre ce processus de validation des acquis me permettait de mieux attester mes compétences professionnelles en matière de gestion de l’information. J’ai donc choisi cette option au vu de la réputation de l’ENSSIB en matière d’enseignement, mais également à cause du fait qu’en Suisse nous n’avons pas encore la possibilité d'obtenir des diplômes en sciences de l’information via le VAE.

 

Qu’est-ce qui vous a interpellé le plus dans les enseignements donnés à l’Enssib ?

J'ai apprécié l’expertise des intervenants et leur professionnalisme en termes d’enseignement et de travaux de recherche, la structuration méthodique et pédagogique des thèmes abordés ainsi que leur actualité. Leurs apports m’ouvrent passablement des pistes de réflexions pour mes futurs projets et me donnent l’envie d’approfondir mes connaissances.

 

Trouvez-vous qu'il y a une différence entre l'approche française et celle de votre pays sur la question des sciences de l'information et des bibliothèques ?

Je dirais qu'en Suisse, l'approche est similaire. Il faut relever que les sciences de l’information et des bibliothèques existent en France depuis plusieurs années, alors qu’en Suisse, elles sont à un stade initial. De même, la recherche en sciences de l’information est plus avancée en France et a un caractère prospectif qui vise des sujets d’actualités, mais aussi les tendances des bibliothèques. L’offre de formation demeure également plus abondante et diversifiée par rapport à la Suisse.