De l'organisation des bibliothèques dans Paris. [volume 1] ; Première lettre : La Bibliothèque Royale occupe le centre topographique et intellectuel de la ville de Paris. Deuxième lettre : Revue critique des projets présentés pour le déplacement de la Bibliothèque Royale. Huitième lettre : Étude sur la construction des Bibliothèques - Notice bibliographique | Enssib
De l'organisation des bibliothèques dans Paris. [volume 1] ; Première lettre : La Bibliothèque Royale occupe le centre topographique et intellectuel de la ville de Paris. Deuxième lettre : Revue critique des projets présentés pour le déplacement de la Bibliothèque Royale. Huitième lettre : Étude sur la construction des Bibliothèques
Description : « Document numérisé pour l'ENSSIB » - Cet ouvrage comporte deux volumes. Le présent document correspond au premier et contient trois unités bibliographiques, trois des douze lettres prévues à l'origine par l'auteur pour former l'ouvrage De l'organisation des bibliothèques dans Paris. Le Comte de Laborde a pour objectif de dénoncer le projet de déménagement de la Bibliothèque Royale qui permettrait la destruction du Palais Mazarin. La première lettre s'apparente à une introduction insistant sur le caractère primordial du Palais Mazarin accueillant la Bibliothèque Royale en tant que lieu central de la ville de Paris, topographiquement et intellectuellement. Dans la seconde lettre, l'auteur entre dans le vif du sujet et critique les différents projets présentés pour le déplacement de la Bibliothèque Royale en soulignant les risques pour les collections et l'intérêt du bâtiment qu'il qualifie de monument historique. La huitième lettre ouvre des perspectives plus larges en revenant sur la construction des bibliothèques, pointant notamment des conceptions souvent inadaptées à la fonction de tels lieux : conservation et communication de documents. Le premier volume de cet ouvrage présente un intérêt à la fois historique et professionnel en étudiant les bibliothèques du point de vue du bâtiment d'une part, et en appuyant son propos sur le cas précis de la Bibliothèque Royale.