Résumé :
Fin 2017, une centaine de réfugiés ont installé leurs tentes sur les pelouses de la faculté des lettres et sciences humaines de Clermont-Ferrand. De cette situation paroxystique des relations université-cité est né un projet scientifique et culturel impliquant une grande variété d’acteurs et conduisant à la production de contenus pédagogiques, de recherche et de médiation.