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Orientation européenne de la section des bibliothèques d'art de l'IFLA

1986

    Orientation européenne de la section des bibliothèques d'art de l'IFLA

    Par Huguette ROUIT, Bibliothèque de l'Ecole du Louvre
    La Section des Bibliothèques d'Art de l'IFLA a organisé à Genève, du 13 au 16 mars 1985, le colloque JLJ "A l'écoute de l'oeil" (1) . La motivation primordiale de cette initiative était de faire participer des collègues européens aux activités de l'IFLA. Lors du congrès de l'IFLA à Chicago une communication précisa la portée de cette manifestation européenne qui avait été nettement perçue par les membres de la section et singulièrement par les anglophones. Deux projets furent alors vivement soutenus: - la publication des Actes du colloque de Genève dans la série "IFLA Publications", pour laquelle le Bureau Professionnel de l'IFLA a donné son approbation lors de sa dernière réunion. - l'organisation d'un deuxième colloque européen, qui aura lieu à Amsterdam en octobre 1986.

    A L'ECOUTE DE L'OEIL Premier colloque européen de la section des bibliothèques d'art de l'IFLA Genève, Musée d'Art et d'Histoire, 13-16 mars 1985. Communication présentée par Huguette Rouit, Secrétaire de la section, au congrès de l'IFLA à Chicago, 18 août 1985.

    Il semble primordial de situer dans quel esprit cette rencontre de Genève a été conçue par la Section des Bibliothèques d'Art.

    Le colloque dans le contexte des manifestations d'associations internationales ayant un lien avec l'histoire de l'art.

    Pour quiconque suit de près les différentes manifestations organisées récemment il est évident que les préoccupations de ces associations sont semblables.

    Au cours de l'été 1983, successivement, le Comité International de l'ICOM pour la Documentation (CIDOC) à Londres, la Section des Bibliothèques d'Art de l'IFLA à Munich, puis le Comité International d'Histoire de l'Art (CIHA) à Vienne, se penchèrent sur les mêmes problèmes, envisagèrent des solutions de même nature. Au temps où de nouvelles technologies surgissent et se perfectionnent, chacun essaie de découvrir celle qui pourrait être la panacée. A l'automne 1984, les membres du CIDOC se retrouvaient à Paris (avant Ottawa en août 1985) pour tenter de planifier la documentation informatisée sur les Archives de l'Image et de la Photographie.

    Un autre événement devait faire de 1984 une date charnière: le colloque "Informatique et histoire de l'art" organisé à Pise conjointement par la Scuola Normale de Pise et le J.Paul GETTY Trust. L'objectif était de faire le point, sur le plan international, des projets et des applications de recherche automatisée en histoire de l'art. Le Census publié à cette occasion recensait plus de 200 projets.

    Le colloque dans le contexte historique de la section des Bibliothèques d'Art de l'IFLA.

    La Section des Bibliothèques d'Art a, certes, fait preuve de dynamisme depuis sa constitution en table ronde en 1977 à Bruxelles; en section à Leipzig en 1981. Travaux, publications, rencontres annuelles de membres fidèles lors des conférences internationales animèrent sa vie. Cela ne comblait même pas son appétit professionnel puisque des pré-séminaires vinrent surajouter des séances de travail. Quel besoin y avait-il d'introduire dans ce mouvement en pleine expansion une nouvelle manifestation ?

    Motivations du colloque de Genève.

    Depuis 1977 un bilan a pu être dressé des activités de notre section.

    Il révèle un désintérêt des Européens, voire leur méconnaissance de l'exis-, tence de l'IFLA.

    Les motifs de cette abstention sont divers. Deux peuvent être retenus:

    • congrès organisés loin de l'Europe, nécessitant des engagements financiers considérables,
    • primauté de la langue anglaise dans les interventions.

    L'idée instigatrice des deux organisateurs du colloque, soutenus moralement par le président de la section, était de susciter une réunion de bibliothécaires européens, en un lieu facilement accessible et par tradition voué aux rencontres internationales. La possibilité leur serait offert de rendre compte de leurs expériences, de leurs idées, à une tribune d'expression non soumise à la contrainte d'une langue peu familière à certains d'entre eux.

    Là se trouvait la raison "utile" du colloque, mais pour rallier des collègues encore fallait-il choisir un thème attractif et d'actualité.

    Celui qui fut retenu avait l'avantage de s'insérer dans le sillon tracé à Pise et d'apporter des éléments intéressants pour le congrès de l'IFLA à Chicago.

    Organisation et thème du colloque.

    La constatation de la tendance à la prééminence de l'image sur le texte dans l'évolution culturelle de notre civilisation est devenue lieu commun, mais il pouvait ne pas être inutile d'explorer ce phénomène en liaison avec les bibliothèques. Ainsi fut retenu le thème: "Les collections iconographiques et les bibliothèques".

    La volonté des organisateurs était de ne pas réserver les communications et les débats aux seuls experts de la profession: bibliothécaires - documentalistes, mais de les ouvrir aussi aux représentants de professions ayant des préoccupations communes ou voisines. L'acceptation enthousiaste de participation assurée par d'éminentes personnalités (responsables d'institutions de premier plan ou pilotes; scientifiques en quête d'applications technologiques nouvelles) permit la conception et la réalisation du colloque en moins de trois mois.

    Une quarantaire de communications, présentées par des intervenants de 7 nationalités, illustrèrent le thème développé en 3 parties:

    • l'enseignement de l'iconographie,
    • les collections iconographiques,
    • les utilisateurs et les moyens d'accès aux documents. (2)

    Apports aux domaines de l'iconographie et de la recherche documentaire.

    Chacun des trois sujets abordés était plein d'intérêt.

    L'enseignement de l'iconographie fut illustré par des présentations remarquables de cours de différents types (enseignement général, universitaire, professionnel ou artistique). Malgré ces témoignages érudits des arguments probants soulignèrent d'étranges lacunes et des déficiences graves déplorées par les membres du corps enseignant soucieux de promouvoir son développement assorti de plus de rigueur (3)

    Les collections iconographiques, en revanche, se révélèrent plus nombreuses, riches et variées, que ne pouvaient même l'imaginer certains auteurs de communications qui, pour l'occasion, avaient procédé à l'inventaire précis de leurs fonds et découvert, en l'étudiant avec soin, sa réelle qualité. L'essor nouveau des artothèques de plusieurs pays et la richesse de collections traditionnelles firent prendre conscience aux participants du colloque de l'importance des fonds conservés dans les bibliothèques, souvent méconnus ou oubliés. (4)

    Les utilisateurs et les moyens d'accès aux documents, partie la plus dense du programme, et sans doute aussi la plus intéressante par les expériences portant à la connaissance de l'auditoire les moyens actuellement fournis aux utilisateurs. La diversité de leurs besoins fut établie par quelques exemples : archéologue, réalisateur de bandes dessinées, handicapé de la vue.

    Des exposés précisèrent la spécificité de différents outils de travail (bibliographies, systèmes de classement, thesaurus) mis à la disposition de la recherche relative à l'iconographie: REPERTOIRE D'ART ET D'AR-CHEOLOGIE, ICONCLASS, THESAURUS ICONOGRAPHIQUE de François GARNIER, THESAURUS MARDOC-IMIS.

    La plus belle part fut donnée à l'application de technologies nouvelles et singulièrement au rôle de l'informatique dans l'accès aux documents iconographiques. Les principaux problèmes abordés étaient posés par rapport à l'estampe et à la photographie. Des confrontations d'idées tentèrent de faire prévaloir des points de vue divers ou d'affirmer quelques évidences.

    Deux positions s'affrontent ou se complètent: l'une de tendance muséo-graphique où chaque oeuvre originale fait l'objet d'une analyse rigoureuse destinée au chercheur, l'autre plus proche des usages de catalogage et d'indexation appliqués dans les bibliothèques avec la faculté de traitement des multiples par lots. Les moyens offets évoluent entre bases très spécialisées ne concernant qu'un nombre réduit de documents et bases générales pour des documents en grand nombre. Des nécessités s'imposèrent:

    • accès à l'image même,
    • type d'indexation adapté à l'importance des collections,
    • définition des besoins des utilisateurs pour une adaptation des moyens aux demandes,
    • catalogage collectif.

    La certitude que le développement des nouvelles techniques de reproduction des images et d'informatisation va bouleverser les conditions dans lesquelles s'effectue la recherche rend indispensable une réflexion internationale sur les aspects moraux autant que juridiques soulevés par les problèmes, et impose une déontologie rigoureuse.

    Des démonstrations à l'Université de Genève présentèrent différents systèmes:

    Banque de données textuelles, encyclopédique, ICONOS (DOCUMENTATION FRANÇAISE) fournissant des références de sources photographiques: agences, photographes, photothèques, etc., consultables en France.

    A partir de cette banque de données sera éditée en 1986 la 6eédition du Répertoire des Collections Photographiques en France.

    Réalisations de projets de vidéodisques couleurs témoignant de la souplesse d'exploitation de cet instrument (Bibliothèque Sainte-Geneviève pour son fonds d'enluminures de manuscrits

    Cabinet des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale - Bibliothèque Publique d'Information, de Paris).

    Interrogations directes (Fichier informatisé des peintures du Musée d'art et d'histoire de Genève - Banquesde données du Ministère de la Culturefrançaise donnant accès, de façonremarquable, à une riche documenta-tion sur les musées de France, lesarchives, aussi bien que sur le patri-moine ou les films d'art, recensée etgérée par les bases MISTRAL:JOCONDE, CARRARE, ARCADE,I-ARCHI, AUDIART, etc.).

    Des visites de bibliothèques procurèrent des moments de détente enrichissante.

    A la Bibliothèque Cantonale, et Universitaire de Lausanne-Dorigny un accueil spécial fut réservé aux congressistes qui purent se familiariser avec le système SIBIL et participer à une recherche documentaire informatisée spécialement conçue à leur intention.

    Quelques observations sur le colloque et la contribution apportée dans le domaine professionnel.

    135 participants inscrits, représentant 11 nationalités, se trouvaient à Genève.

    Hétérogénéité des participants au colloque et de leurs points de vue.

    L'un des intérêts majeurs de cette rencontre résidait dans la présence de bibliothécaires de différentes sortes d'institutions (bibliothèques spécialisées en histoire de l'art et bibliothèques de musées - bibliothèques nationales, universitaires, mais aussi bibliothèques municipales avec une forte représentation régionale pour la France et la Suisse).

    S'étaient joints à nos collègues: conservateurs de musées, historiens de l'art, enseignants, journalistes, éditeurs, ingénieurs de recherche et informaticiens.

    Nombre de congressistes assistaient à leur première rencontre internationale; quelques-uns participent régulièrement aux travaux de l'IFLA, l'ICOM, le CIHA, etc. La confrontation de perceptions professionnelles, d'expériences et de points de vue différents, permit d'élargir et d'enrichir les débats.

    Prise de conscience de l'importance des fonds iconographiques des bibliothèques.

    Les bibliothèques d'art avec leurs livres illustrés, leurs fonds d'estampes, de photographies, parfois leurs collections de dessins, constituent des interlocuteurs non négligeables en tant que détenteurs de richesses patrimoniales. Au moment où l'informatique étend ses applications aux fonds d'images il était utile que les bibliothèques fassent entendre leur voix.

    Affirmation de la nécessité de collaboration.

    Des opinions parfois très opposées se sont manifestées prouvant par là-même qu'une concertation n'était pas inutile pour essayer de promouvoir un développement parallèle des projets d'envergure nationale ou internationale. Les opérations sont très coûteuses. L'éparpillement des initiatives comporte des risques.

    D'amples perspectives de coopération internationale s'ouvrent sur la réalisation d'une banque de données bibliographiques commune à partir du Répertoire d'Art et d'Archéologie (RAA) et de l'International Repertory of the Literature ofArt (RILA) depuis la signature à Paris, le 28 mai 1985, d'un protocole d'accord entre le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) et la Fondation J.-Paul GETTY.

    D'autres champs d'action sont suggérés. (5)

    Volonté d'exprimer un dynamisme européen.

    Avant de se séparer les membres les plus attachés à l'expansion de la Section ont décidé de ne pas se cantonner dans le succès de Genève et de renouveler des contacts fructueux entre Européens. (6)

    Le choix d'Amsterdam comme prochain lieu de rencontre laisse augurer une participation importante au 2ecol-loque européen de la Section des Bibliothèques d'Art qui aura lieu du 13 au 18 octobre 1986. Que nos collègues hollandais soient par avance remerciés de leur acceptation méritoire de prévoir une rencontre après celle de Genève qui a suscité beaucoup d'éloges, dus à l'organisation remarquable que notre collègue suisse J.-P. Dubouloz eut la lourde tâche de mettre au point.

    Le voeu de publication des Actes du colloque se manifeste de différentes part. La cohérence de l'ensemble des communications et des idées émises plaide en ce sens.

    En conclusion

    L'enseignement tiré de cette expérience confirme dans la pensée qu'il est judicieux de profiter de la puissance des associations professionnelles, tant nationales qu'internationales, et de l'audience qui leur est portée pour:

    • organiser des rencontres offrant des contacts et une tribune permettant de faire circuler l'information, de susciter confrontation et concertations afin d'établir des collaborations profitables,
    • exposer à des interlocuteurs (politiques, chercheurs, techniciens) les besoins spécifiques de notre profession, rechercher avec eux des solutions à nos problèmes, imposer nos légitimes aspirations.

    La structure rigide de l'IFLA constitue un support respecté sur lequel il est possible de s'appuyer pour lancer des opérations audacieuses mais sûres en faveur de la cause des Bibliothèques d'Art.

    PERSPECTIVES DE RENCONTRES EUROPEENNES Second colloque européen - Amsterdam - 13 au 18 octobre 1986

    L'impulsion donnée à Genève incita le Comité permanent de la Section des Bibliothèques d'Art, réuni à Chicago, à entériner le voeu d'élaborer un programme de rencontres européennes. En cette année 1986 où le congrès annuel de l'IFLA se tiendra à Tokyo, le projet européen se concrétise. Assisté des conseils précieux de M. van Wesemael, coordinateur des activités professionnelles de l'IFLA qui avait honoré de sa présence le premier colloque, un comité d'organisation composé des bibliothécaires des principales bibliothèques d'art hollandaises, s'est attelé à la préparation d'un colloque qui aura lieu à Amsterdam, à la Vrije Universiteit au mois d'octobre 1986. Il aura pour thème: "Les périodiques d'art" avec, essentiellement, une étude des objectifs poursuivis par les organismes produisant des bibliographies avec analyses et index (RAA, RILA, Art Index, Art Bibliographies Modem, etc.) et des effets de leur coopération.

    D'autres sujets d'un large intérêt sont proposés:

    • Catalogues collectifs de périodiques
    • Moyens mis en oeuvre pour faciliter l'accès matériel à la documentation offert par les collections de périodiques, etc.

    Des collègues français interviendront et feront part de leur expérience.

    Alléchée par l'épreuve réussie une représentation anglophone, notamment américaine, se prépare à assister aux conférences et à présenter des rapports. Cet intérêt marqué pour l'initiative hollandaise doit être accueilli avec un sentiment de satisfaction. Il serait assez regrettable qu'une faible participation européenne francophone n'assure pas l'équilibre recherché. Voilà une occasion propice de manifester avec enthousiasme une présence et une spécificité européennes.

    Les organisateurs prévoient des visites de bibliothèques, centres de documentation, maison de distribution de périodiques, musées, à Amsterdam et La Haye. (7)

    D'autres perspectives s'ouvrent dès à présent aux bibliothécaires d'art européens.

    Pré-séminaire - Brighton - 1987

    Du 16 au 21 août 1987 la Grande-Bretagne accueillera le congrès annuel de l'IFLA à Brighton. Profitant de cette circonstance les membres de l'association ARLIS/UK et EIRE prennent en charge un pré-séminaire de deux journées qui aura lieu à l'Université du Sussex. Le thème en sera: "Les bibliothèaues d'art pour le public". Nos collègues des bibliothèques publiques (déjà nombreux à s'être aventurés au colloque de Genève - cinq orateurs y traitèrent des problèmes spécifiques aux iconothèques) devraient trouver un intérêt dans les sujets. qu'il est prévu d'aborder:

    • L'art et les bibliothèques publiques,
    • Les iconothèques et leur utilisation,
    • Les bibliothèques d'art dans une société multi-culturelle,
    • Les bibliothèques d'art, l'art populaire, la culture populaire,
    • Les bibliothèques d'art au service d'autres disciplines.

    Leur intervention est vivement souhaitée. (8)

    Ensuite, il est permis d'avoir l'espoir d'une rencontre à Paris en 1989. Suggestions et soutien seront alors les bienvenus !

    D'une concertation régulière entre responsables de bibliothèques d'art européens peuvent naître des liens créant une coopération fructueuse.

    1. *cf. IFLAjournal, vol. Il (1985). N° 4, p. 361 - 364. retour au texte

    2. Quelques références aux premiers comptes rendus publiés:

    • - NEWSLETTER of the Section of Art Libraries of IFLA. N° 13, Summer 1985. Comptes rendus de Philip Pacey, Président; Huguette Rouit, Secrétaire; Irena Murray (McGill University, Montréal).
    • - H.A.M.I. Histoire de l'Art et Moyens Informatiques. N" 9, Mars 1985. Compte rendu de M. Jacques Thuillier, Professeur au Collège de France.
    • - INTERPHOTOTHEQUE Actualités. N" 26, Mars 1985. Compte rendu de Mme Geneviève Dieuzeide, Chef du Service iconographique de la Documentation Française.
    • - ART DOCUMENTATION. Bulletin of the Art Libraries Society of North America. Vol. 4, N" 2, Summer 1985. Compte rendu de Irena Murray et Carol Terry (Art Institute of Chicago).
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    3. Une enquête détaillée sur l'enseignement de l'iconographie, lancée en France à l'occasion du colloque, sera exploitée ultérieurement. retour au texte

    4. Une cinquantaine de notices décrivant des collections iconographiques françaises devrait faire l'objet d'une publication. retour au texte

    5. Une table ronde internationale réunissant les constructeurs de logiciels d'une part, et les historiens de l'art et informaticiens d'autre part, organisée par le Bureau central de l'Informatique du Ministère de la Culture, aura lieu à Paris en janvier 1986. retour au texte

    6. Autres projets européens récents: La Fondation du Futur a annoncé au début du mois d'août 1985 un projet de colloque européen sur la culture, soulignant qu'il existe, en Europe, une culture spécifique. On peut signaler à ce propos que le Parlement européen a adopté une résolution préconisant la constitution d'une "Bibliothèque communautaire". Parmi les domaines couverts en premier lieu s'inscrivait celui de la culture. Une cinémathèque et une vidéothèque y seraient adjoints. Son siège est prévu à Florence auprès de la Bibliothèque de l'Institut universitaire européen. retour au texte

    7. Demandes d'information et propositions de communication peuvent être adressées à:

    • - Maggy Wishaupt, Koninklijke Bibliotheck Postbox 90418, 2509 LK THE HAGUE
    • - Huguette Rouit, Bibliothèque de l'Ecole du Louvre 4, Quai des Tuileries, 75001 PARIS
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    8. Un compte rendu des activités de la Section des Bibliothèques d'Art de l'IFLA, de 1981 à 1985, présentera prochainement ses travaux, ses publications, et relatera sa participation aux conférences générales de la fédérationale en application du Programme à Moyen Terme. retour au texte