Dans les premières années après la guerre, la Bibliothèque Nationale (Biblioteka Narodowa, B.N.), ne possédait pas de Service d'information scientifique indépendant mais vu le caractère encyclopédique de la bibliothèque, on s'adressait à elle avec force questions et demandes de renseignements. Chaque service tâchait de satisfaire ces demandes dans sa spécialité, mais la plupart des renseignements étaient donnés par le personnel de la Salle de lecture. Ainsi, en 1948, la Salle de lecture a donné 203 informations écrites, en 1949 leur nombre progresse à 510 et en 1950 il atteint 1515. Les renseignements oraux et téléphoniques suivent cette courbe ascendante dans la même proportion.
A l'issue de la conférence de 1951, à l'échelle nationale, des bibliothécaires scientifiques, proclamant la nécessité de créer des centres d'information bibliographique dans toutes les bibliothèques d'étude, la « Section de renseignements et d'information scientifique » a vu le jour à la B.N. au mois de mars 1951. Conformément au caractère des collections de la B.N. et à celui des demandes des lecteurs, l'activité de cette section se limitait pour la plupart aux renseignements oraux, écrits et téléphoniques concernant les sciences humaines, à l'exclusion des techniques, de la médecine et des sciences mathématiques. Les renseignements relatifs à ces dernières disciplines continuaient donc à être dirigés vers les autres départements de la B.N. ou même vers d'autres bibliothèques spécialisées et instituts scientifiques avec lesquels on a instauré, dans ce but, une étroite collaboration. En 1954, en vertu du nouveau statut de la B.N. on a changé le nom de « Section » en « Service d'information scientifique » dont l'historique et l'activité actuelle vont constituer le sujet de cet article.
L'activité de ce nouvel organisme se développe simultanément dans plusieurs directions : 1°) coordination du travail des centres d'information dans tout le pays ; 2°) rôle pédagogique ; 3°) travail d'information proprement .lit.
On a, pour débuter, fait le compte de tous les centres d'information existants et au mois de janvier 1952 a paru la Liste des Centres d'Information dans les bibliothèques (Wykaz ośrodków informacyjnych w bibliotekach) préparée par la Section, sur les données des réponses à une enquête envoyée à plus de 300 bibliothèques et institutions scientifiques. La nouvelle et dernière édition de 1962 de cette liste comprend 167 centres dispensant la documentation non seulement du domaine des sciences humaines mais aussi des sciences naturelles, mathématiques et appliquées.
La même année (1952) et dans le but de promouvoir la collaboration des centres entre eux, on a publié la Liste des plus importantes bibliographies, par sujets, établies par les bibliothèques et instituts scientifiques (Wykaz tematyczny ważniejszuch zestawień bibliograficznych wykonanych przez biblioteki i instytuty naukowe), première publication de ce genre en Pologne, rédigée par la Section d'après les indications envoyées par chaque centre. Cette liste est devenue depuis, semestrielle ; à sa rédaction collaborent plus de 50 centres d'information et elle est adressée à plus de 140 bibliothèques et instituts. Depuis 1952 ont paru plus de 23 cahiers de cette publication, réunissant des références bibliographiques sur 9 500 sujets environ. A partir du N° 23 on a augmenté le tirage de cette Liste (750 ex.), de sorte qu'elle parvient maintenant même aux bibliothèques municipales et cantonales. Le but de cette publication est de prévenir un double et inutile travail de rédaction pour les mêmes questions de documentation. En effet, ces Listes préviennent les bibliothèques de l'existence de tels ou tels sujets déjà traités ou simplement projetés, et de cette manière les différentes bibliothèques peuvent commander ou échanger les travaux bibliographiques qui les intéressent.
Le rôle pédagogique constitue le deuxième aspecl de l'activité coordinatrice de ce Service. Il fallait, en effet, penser à la formation professionnelle des cadres pour les services d'information, et ce sont les collaborateurs de la Section de la B.N. qui en ont été chargés ; ils font des cours, conférences et travaux pratiques d'information et de bibliographie aux bibliothécaires des bibliothèques scolaires, publiques et scientifiques, aussi bien encyclopédiques que spéciales. Il faut compter 15 cours et autant de séminaires, donnés entre 1952 et 1956 et l'année 1953 à elle seule a vu un cours fait pour 35 personnes.
Le Service est chargé aussi de travaux pratiques de 24 jours destinés aux étudiants de 3e année de la Faculté de Bibliothéconomine à l'Université de Varsovie et de Wroclaw. A tous ces travaux de caractère purement didactique s'ajoutent encore à l'actif des collaborateurs du Service, diverses publications : ce sont des programmes d'études, des cours, certains chapitres de manuels pour bibliothécaires, des articles dans la presse professionnelle. En effet, les problèmes concernant l'information ont été largement répandus dans la presse bibliolhéconomique sous forme d'articles, comptes rendus des discussions et débats, traductions, etc. Des interviews dans la presse quotidienne et des émissions radiophoniques contribuaient à populariser cette fonction, jusqu'ici peu connue, des bibliothèques.
Le travail d'information proprement dit constitue, cela va sans dire, la troisième et de loin, la plus importante et la plus vivante partie de l'activité du Service d'Information, qui fonctionne aussi bien pour les besoins du pays que pour ceux de l'étranger. Peuvent s'adresser à lui les personnes privées, ainsi que les institutions scientifiques, culturelles et même les autres bibliothèques; les renseignements sont communiqués par téléphone, par écrit ou donnés sur place, oralement.
Les demandes de renseignements émanant de savants, écrivains étrangers, institutions diverses, concernent le plus souvent la littérature étrangère en Pologne, les écrivains et les hommes de science polonais connus à l'étranger de même que des multiples problèmes généraux et spéciaux ayant trait à la culture polonaise. A côté de listes bibliographiques de moindre importance, le Service établit des listes bibliographiques très complètes destinées aussi bien au pays qu'à l'étranger : énumérons, entre autres, une bibliographie des oeuvres de Tchékov éditées en Pologne pour la Bibliothèque Lénine à Moscou, une bibliographie de travaux de Rosa Luxembourg devant être utilisée dans l'édition complète de ses oeuvres, etc. Dans d'autres cas les informations sont partiellement publiées dans des bibliographies ou répertoires internationaux ou bien servent, de, base aux travaux scientifiques. Ainsi, la liste de revues scientifiques polonaises a été publiée dans le Bulletin de l'Unesco à l'intention îles bibliothèques, 1955, N° 7 ; la liste des éléments de sources juridiques a pris place dans le Catalogue îles sources île documentation juridique dans le inonde 1957. L'énumération de travaux relatifs à l'enseignement supérieur a été utilisée dans une bibliographie publiée par le Bureau International des Universités ; la bibliographie des traductions polonaises des oeuvres de R. Tagore a servi à la publication Tagore and the West. Des matériaux réunis pour les traductions polonaises de Marx et Engels font partie de deux bibliographies, l'une publiée par A. Bert en Suisse et l'autre par l'Institut Feltrinelli à Milan, en 1962 ; la bibliographie des traductions polonaises de F. Močnik complète la bibliographie publiée à Ljubljana ; la liste des auteurs canadiens traduits en polonais se trouve incorporée dans Polonica Canadiana, éditée par les soins de l'Université de Toronto ; la bibliographie des écrits de Th. Mann, publiés en Pologne a été envoyée en Allemagne, celle de W. Whitman en Grande-Bretagne, celle de R. L. Stevenson aux Etats-Unis. En 1962 on a transmis, aux Etats-Unis aussi, une étude bibliographique sur les drapeaux polonais, des-tinée à une bibliographie internationale, préparée par ce pays. D'autre part, on a fait parvenir, à plusieurs reprises, aux répertoires internationaux des données sur la B.N., p. ex. pour l'établissement, de National l.ibruries in the world et International Library Directory. Il n'est pas rare non plus de communiquer des renseignements utiles aux expositions, conférences, congrès, organisés à l'étranger.
Les institutions nationales ne sont, pas, pour autant, oubliées par le Service d'Information. Certaines bibliothèques peuvent manquer de sources bibliographiques pour rassembler une documentation complète sur une question et dans ce cas elles ont recours au Service ; de même que d'autres organismes officiels qui pour leurs propres fonctions ou leurs contacts avec l'étranger ont besoin de renseignements bibliographiques tres détaillés. Le Ministère de la Culture et des Beaux Arts, entre autres, a maintes fois profilé des bibliographies des «Polonica étrangers» ou des traductions polonaises d'ouvrages étrangers.
A côté de cet aspect spécial d'information, la majeure partie des demandes de renseignements porte sur des litres de bibliographies spéciales à des sujets donnés et sur les méthodes de leur utilisation. Des recherches de noms ou d'adresses d'organismes scientifiques possédant tel ou tel ouvrage ou tel titre de revue sont aussi très fréquentes. Par contre, la recherche ou vérification d'une date et la description d'un événement sont bien moins nombreuses.
Le téléphone constitue le moyen le plus commode pour obtenir un renseignement. Les bibliothèques varsoviennes, des maisons d'édition, des rédactions de journaux et revues et tes institutions scientifiques constituent le gros des usagers téléphoniques de ce Service. Leurs demandes sont très variées : vérifier certaines données au catalogue, déterminer les éléments bibliographiques d'un livre et les compléter le cas échéant, signaler les éditions successives d'un ouvrage réédité, trouver des traductions antérieures d'un roman, réunir des prescriptions matérielles ou administratives utiles à l'édition ou à l'impression d'une publication, etc...
Le nombre d'informations satisfaites augmente continuellement et illustre éloquemment l'évolution du Service. Ainsi en 1951, année de sa création, on a donné au total 1573 informations, en 1955 : 2943 en 1960 : déjà 7352. En 1962 leur chiffre atteint 6782 dont 594 par écrit. Les informations envoyées à l'étranger suivent sensiblement cette courbe : en 1951 il y en avait 49, en 1955 : 86 ; en 1960 : 213 et en 1962 : 309. Sur la liste de pays demandeurs figurent tous les pays européens, l'Afrique est représentée pour le moment par le Cameroun, l'Asie par la République populaire chinoise, Inde, Israël. Japon, Viet-Nam, Ceylan ; l'Amérique par l'Argentine, le Brésil, Chili, Colombie, Canada, Cuba, Mexique et tes Etats-Unis. L'Australie el. la Nouvelle-Zélande sont aussi du nombre. (Tous ces détails sont valables jusqu'en 1962).
Un secteur séparé de l'activité du Service, se réserve la rédaction de bibliographies destinées à être publiées. Ainsi, la B.N. a édité Matériaux pour la bibliographie du Grand prolétariat, en 1952, Marx et Engels en Pologne en 1953, Bibliothèque Nationale. Guide du lecteur, Bibliographie de feuilles volantes de temps de la révolution 1905-1907 en 1963 (1) . Cette dernière bibliographie contient plus de 4000 feuilles volantes.
En décembre 1962 a été créé auprès du Service une Section d'information sur les ressources de la Bibliothèque Nationale elle-même, ce qui permet de répondre très vite aux questions urgentes (presse, radio, télévision).
Il convient maintenant de jeter un coup d'oeil sur « l'atelier de travail » du Service qui permet de donner des renseignements écrits ou téléphoniques, les plus complets possibles, en un temps record. I1 est évident que la célérité avec laquelle ces renseignemsnts sont fournis el leur valeur scientifique dépendent de la qualité et de la quantité des sources dont disposent les collaborateurs de ce centre.
Les instruments de travail se composent d'un choix d'ouvrages de référence, de différents fichiers, établis par le Service lui-même et d'autres moyens d'investigation se trouvant dans les différents départements de la B.N. Parmi ces derniers il faut compter les fichiers du Service de la bibliographie rétrospective, le catalogue des « Polonica », le catalogue alphabétique central de la B.N., le catalogue général par matières, le catalogue des ouvrages appartenant à l'Institut bibliographique, ainsi que les fichiers du Service de la théorie de la bibliographie. Les catalogues de la Section des catalogues collectifs sont de leur côté très utiles pour résoudre certaines difficultés : connaître la périodicité d'une revue, trouver les noms de rédacteurs, etc. Le fichier des pseudonymes, avec ses 2 000 fiches et celui des lois et décrets régissant les bibliothèques sont aussi très précieux.
Quant aux instruments de travail propres au Service lui-même, ce sont les ouvrages de référence, d'une part, et différents fichiers, d'autre part.
Les ouvrages de référence étaient, en 1962, au nombre de 4 000 volumes. Ils constituent le complément des ouvrages de référence de la Salle de lecture de la B.N. mais à quelques exceptions près (bibliographies les plus usitées, encyclopédies, dictionnaires) ils ne les doublent pas. Ce sont avant tout des publications du type purement documentaire : bibliographies générales et spéciales, bibliographies nationales constamment tenues à jour, catalogues de grandes bibliothèques étrangères, encyclopédies, lexiques, catalogues d'éditeurs, ouvrages de chronologie, répertoires, informateurs, guides, tables de revues, toute une section des « Varsaviana », certaines sources historiques, etc. Tous ces ouvrages ont un catalogue qui leur est propre ; pour plus de facilité. un fichier des bibliographies et plusieurs fichiers biographiques sont tenus à part.
Le fichier bibliographique contient non seulement toutes les bibliographies du Service mais encore celles qui se trouvent dans tous les autres services de la B.N. Outre les bibliographies imprimées, sont mentionnées dans ce fichier des bibliographies projetées, destinées à l'impression et non encore publiées. Ce fichier est constamment tenu à jour grâce aux répertoires bibliographiques nationaux et aux bibliographies étrangères qui entrent à la B.N. Le recensement de toutes ces bibliographies a constitué le premier pas de la vie du Service en 1951.
Les fichiers biographiques rendent de très grands services : fichier biographique des personnages à propos desquels on a déjà constitué un dossier, fichier de biographies des personnages contemporains ou peu connus, fichier de biographies non encore demandées mais dont on a relevé les éléments «par hasard» au cours d'autres recherches, dans des revues, journaux, etc., fichier d'auteurs et d'hommes d'Etat polonais.
Les autres fichiers, rangés par matières, concernent différents sujets et quelques-uns parmi eux méritent une mention particulière à cause de l'ampleur de leur documentation : « L'Extrême-Orient », « La Commune de Paris », « Le Grand prolétariat », « Les problèmes paysans polonais XVI-XXe s. ». Quelques thèmes choisis pour leur intérêt d'actualité et tenus constamment.
à jour, p. ex. : « L'histoire contemporaine », « Problèmes littéraires », etc., ayant, leurs fiches rangées alphabétiquement d'après des vedettes-matières définies, sont d'un très grand secours. Un fichier, et non de moindre importance, avec mention du nom du demandeur et le nombre d'ouvrages recommandés évite souvent de recommencer les mêmes recherches.
Un autre instrument de travail, à l'inférieur du Service, est d'un grand intérêt pratique : il s'agit de la section des extraits de presse. Par abonnement à l'Argus de la presse cette section reçoit, tous les comptes rendus touchant la production littéraire d'un auteur polonais ou étranger et autant que possible leurs biographies. Des grandes enveloppes, contenant ces coupures de presse, classées dans l'ordre général d'abord et ensuite par titres d'oeuvres, sont rangées dans des cartons. Les hommes politiques et les savants sont aussi représentés dans cette documentation. Des cartons distincts, par sujets, par exemple : prix nationaux et internationaux, mémoires, anthologies de poésie et de prose et enfin la littérature étrangère par pays complètent les moyens de travail de cette section. En 1962 on comptait déjà 7 500 vedettes-matière.
Le Service d'Information supervise, enfin, en tant qu'organisme central, les principales informations bibliographiques dressées par d'autres bibliothèques et envoyées par elles à la B.N pour l'impression de la Liste des plus importantes bibliographies.
Tout ce qui précède signale el décrit l'information individuelle, mais il faudrait mentionner aussi le travail d'information collective.
Au premier plan de celle-ci se placent des expositions de livres. Depuis 1946, année où a eu lieu la première exposition depuis la guerre, consacrée à la presse clandestine pendant l'occupation, la bibliothèque a organisé plusieurs grandes expositions : « Les publications scientifiques polonaises » en 1947, « Le livre dans la lutte pour le progrès el le socialisme » et bien d'autres.
Depuis 1948 et presque tous les ans à partir de cette date, la bibliothèque collabore à l'organisation des expositions faites par d'autres institutions aussi bien à Varsovie qu'en province et même à l'étranger ; les expositions nationales les plus significatives étaient dédiées à Mickiewicz, Slowacki, Chopin, Pouchkine, la Renaissance, le Siècle des lumières, etc. Pour les manifestations de ce genre à l'étranger on a sélectionné et envoyé les ouvrages pour l'exposition des Slaves et celle de Pouchkine à Moscou, de Goethe à Weimar, du Livre polonais à Paris.
Indépendamment de ces expositions de grande envergure, la bibliothèque a commencé d'organiser, depuis 1949, des expositions plus petites et fréquemment renouvelées. Elles constituaient, le plus souvent, une initiation à des anniversaires historiques ou culturels ou avaient pour prétexte des conférences, des séminaires ou des excursions organisées ou reçues par la bibliothèque.
Les nouvelles acquisitions scientifiques polonaises et étrangères sont toujours exposées, pour la durée de quelques jours, même avant d'être inventoriées et cataloguées ; par manque de place, ces petites expositions ont lieu sous vitrines à l'entrée de la Salle de lecture.
Les excursions constituent à leur tour, un des moyens de faire connaissance avec les richesses de la B.N. Le programme de ces excursions est toujours approprié au caractère du groupe des visiteurs. Parmi ces groupes, les plus fréquents sont ceux de bibliothécaires, d'élèves et d'étudiants de différents types d'écoles secondaires et supérieures mais il ne manque pas non plus de groupes de travailleurs scientifiques, professeurs, journalistes.
Les réunions consultatives avec les lecteurs donnent aussi de bons résul-tats à l'actif du travail d'information. Entre 1951-1953 ont eu lieu 5 de ces consultations, comptant chacune plus de 40 personnes. Chaque réunion commence, conformément au désir des lecteurs, par un exposé d'initiation fait à leur intention et relatif aux problèmes de la bibliothèque et de ses différents départements, à ses publications, ses catalogues et ses fichiers. Dans les débats qui suivent, les participants soumettent des projets de réformes et proposent souvent des améliorations. Ces rencontres auxquelles prennent part également les collaborateurs d'autres services de la bibliothèque ont grandement contribué au resserrement du contact avec le public.
Il me faut conclure en disant que le Service d'Information de la B.N. à Varsovie résout, au profit du public, un grand nombre de problèmes de documentation devenue de nos jours étendus et multiples. Son fonctionnement rationnel, prompt et efficace est très apprécié par tous ceux qui s'adressent à lui. 11 serait souhaitable que soient créés des services analogues dans nos bibliothèques ; servis par un personnel traditionnellement qualifié et des fonds exceptionnellement riches, on mesure aisément jusqu'où pourrait aller leur autorité et leur renom.
Biblioteka Narodowa w latach 1945-1956 (La Bibliothèque Nationale 1945-1956).[Texte en polonais et résumés en français]. Slużba informacyjna (Service d'Information), pp. 48-55.
- Praca Zakladu informacji naukowej Biblioteki Narodowej (L'activité du Service d'Information scientifique de la Bibliothèque Nationale). [In : Bibliotekarz (Le Bibliothécaire), 1962, N° 7-8, pp. 209-219].Mme Maria MANTEUFFEL, Directeur de ce Service, a bien voulu me communiquer les chiffres et données pour 1962 et 1963. Qu'elle en soit remerciée. On lui doit, par ailleurs, depuis 1951, une longue liste d'études et d'articles dans lesquels elle a approfondi les multiples aspects des problèmes liés à l'Information, au service du public.