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    Les illustrations de Gavarni

    Par Jean Prinet
    Par Nicole Villa

    Vignette de l'image.Illustration
    Illustration de Gavarni : Initiale U du Muséum parisien (gravée sur bois par Lesestre)

    Un anniversaire comme celui de la naissance de Gavarni (13 janvier 1804) ne saurait passer inaperçu. Il a déjà donné lieu à quelques commémorations : projection d'un film, émission de télévision, cours l'Ecole du Louvre. Le Cabinet des Estampes vient d'achever l'inventaire des 4.000 lithographies qu'il conserve de l'artiste, et se prépare à en exposer quelques-unes des plus belles et des plus typiques l'hiver prochain. L'A.B.F. s'associe à cet hommage en publiant ici un essai de bibliographie des livres et des périodiques illustrés.

    Si les études consacrées au livre français citent généralement le nom de Gavarni, si M. P.-A. Lemoisne (1) donne de nombreuses et très utiles indications, aucun ouvrage, aucun article ne traite entièrement le sujet. Les catalogues de l'oeuvre sont loin d'être complets : celui de Mahérault et Bocher (2) néglige les illustrations gravées sur bois ; celui de M. Jean Robiquet (3) ne traite que des lithographies les plus rares ; la liste publiée en appendice de Masques et Visages [n° 107] mentionne, par ordre alphabétique de titres ou de sujets, des oeuvres très diverses, choisies et commentées d'une manière assez arbitraire, comme au hasard des souvenirs : illustrations, albums, suites lithographiées, périodiques... L'auteur reconnaît d'ailleurs qu'elle est imparfaite en raison de « la multiplicité des productions de Gavarni, et souvent [du] mode de publication qui les a éparpillés un peu partout ». Il souhaite que l'artiste veuille bien « quelque jour s'occuper de réunir son oeuvre complète ». Gavarni est mort en 1866 sans avoir exaucé ce voeu. Pour combler une si regrettable lacune, Mlle Villa a méthodiquement recherché ces illustrations au Cabinet des Estampes et au Département des imprimés de la Bibliothèque nationale. La tâche lui était d'autant moins facile qu'un grand nombre d'ouvrages collectifs du XIXe siècle ne mentionnent pas le nom des illustrateurs ; bien des titres signalent seulement que les vignettes ou les planches sont dues à « quelques-uns des meilleurs artistes ». Pour déchiffrer ces énigmes, il ne faut pas se contenter de dépouiller des catalogues, on doit - et c'est là le plaisir - tourner une à une les pages de ces livres encore insuffisamment connus. Les affiches de libraires conservées au Cabinet des Estampes ont permis d'ajouter un de ces ouvrages « omnibus » [n° 20] à notre liste, et en même temps à celle des illustrations de Daumier établie par Bouvy (4) . La publicité insérée dans les différents livres publiés par Aubert a fourni également quelques titres nouveaux.

    Au cours de son long voyage de jeunesse à Bordeaux et dans les Pyrénées (1824-1828), Gavarni a commencé sa carrière de dessinateur d'une manière qui nous semble aujourd'hui paradoxale, par des croquis de machines [n° 108] et quelques petits paysages. Mais très vite La Mésangère reproduit ses dessins dans son Journal des Modes [n° 109]. C'est là le début d'un immense succès qui se prolonge au-delà même de la mort de l'artiste, puisque les périodiques postérieurs à 1866 contiennent encore de nombreuses oeuvres posthumes.

    On sait comment ces costumes pyrénéens et ces images de mode se sont transformés et animés : en quelques années des personnages nouveaux apparaissent, Lorettes, Chicards ou Débardeurs, qui enchantent les contemporains. Si le romantisme attendrissant des chansons qu'il avait alors à illustrer ne lui convenait guère plus que les complications politiques auxquelles on cherchait à le mêler aux environs de 1830, il retrouvait toute sa verve dès qu'il s'agissait d'observer et de décrire les différents types de la population parisienne. Quand en 1848, ses amis de Londres ou de Paris le pressèrent de commenter les événements politiques pour l'Illustrated London News, il ne donna d'abord que d'assez médiocres dessins de barricades ; mais il retrouva bientôt, dans les drames de la guerre civile, les « épiciers » et les « Anatole » dont il s'était tant moqué les années précédentes ; il les observe alors avec curiosité dans leurs nouvelles fonctions de défenseurs de la République. Les titres seuls des principaux ouvrages qu'il a illustrés suffisent à évoquer cette prédilection pour tout ce qui concerne Paris et les Parisiens : Paris au XIXe siècle [n° 11], Le Museum Parisien [n° 21], Un Hiver à Paris [n° 47], La Grande Ville [n° 56], Les Rues de Paris [n° 60], Le Diable à Paris [n° 65], Tableau de Paris [n° 75], Paris et les Parisiens au XIXe siècle [n° 81]. Dans les Physiologies, dans les ouvrages « omnibus », c'est toujours à Gavarni que sont confiées les scènes de la vie de Paris. Dans Les Français peints par eux-mêmes [n° 16], sur plusieurs dizaines de dessins, c'est à peine si l'on en trouve quelques-uns représentant des types de province. Et la place qu'il a su imposer à ses personnages par son talent et par son esprit est telle que le nom de Gavarni, et c'est là un fait significatif, vient presque toujours en tête des illustrateurs d'ouvrages sur Paris. II fut vraiment, de 1839 à 1856, l'un des maîtres de l'illustration. Les éditeurs, Hetzel tout le premier, savaient que son nom était une garantie de succès.

    Mais il y a plus : jamais une bibliographie des ouvrages illustrés par Gavarni ne sera complète si elle ne comprend pas ces ouvrages où l'influence de ses dessins est si profonde que certains passages n'en sont guère que le commentaire ou la description littéraire. Mlle M. Mespoulet (5) et M. David James (6) ont montré, dans d'excellentes études, les rapports de Gavarni avec les écrivains de son temps et le rôle des images dans la littérature du XIXe siècle. Pour ce qui nous occupe, les chapitres que M. David James consacre à Balzac, Musset, Flaubert, Théodore de Banville sont particulièrement convaincants. Dans un domaine plus humble, la Physiologie du Mariage, qui ne comporte aucune illustration de Gavarni, et qui par conséquent ne figure pas dans cette bibliographie, reproduit presque à chaque page les légendes de ses lithographies ; ce n'est pas un hasard si le jeune héros, Abel de Croye, s'habille chez Humann, dont Gavarni était le dessinateur ; si sa silhouette, son attitude (p. 88), sont celles d'autres Abel ou Anatole qu'on a vus déjà auprès des Lorettes ou des Débardeurs ; la Comtesse qu'il rencontre dans un salon fait inviter son amant par son mari : le message d'invitation reproduit mot pour mot une légende de Gavarni (p. 93). On ne trouvera pas davantage ici la Physiologie de l'Etudiant, parce que les illustrations sont d'Alophe et de Mauricet ; mais ces danseurs alertes (p. 72) sont les frères puînés de ceux qui animent les Bals ou les Carnavals de Gavarni.

    Ses amitiés littéraires, comme les affinités de ses thèmes et de son style avec ceux de la poésie et du roman, lui ont donné une place exceptionnelle parmi les illustrateurs. En 1861, dans un numéro du Journal Amusant, Philipon, après avoir rappelé que c'est lui qui a découvert, et avec quel courage, Daumier, Gavarni, et, vingt ans après, Gustave Doré, constatait avec tristesse le déclin de Daumier, et donnait les raisons du succès de Gavarni. On pouvait même lire, dans le Musée Universel (1" juin 1878) une appréciation qui, si elle représente le goût général de ce temps, ne nous en paraît pas moins, aujourd'hui, assez audacieuse : « Lorsqu'il s'en mêlait, Daumier, d'une main aussi ferme, avec une pensée aussi profonde que Gavarni, faisait de la caricature proprement dite. »

    Il faudrait étudier les illustrations de Gavarni, non seulement par rapport à celles de Daumier, mais aussi de Tony Johannot, de Nanteuil, de Grandville, de Gustave Doré. M. P.-A. Lemoine a déjà rapproché les dessins anglais de Gavarni (7) et ceux de Gustave Doré (8) . Les Anglais ont d'ailleurs beaucoup plus retenu l'attention de Gavarni que n'ont fait les Français de province, et il n'a tenu qu'à lui de ne pas connaître, à Londres, les étonnants succès mondains qu'il a remportés à Paris. Sa célébrité était grande : dès avant son arrivée en 1847, c'était un signe de bon ton à Londres que de feuilleter les albums de Gavarni ; et c'est dans l'Illustrated London News qu'ont paru, en 1848, ses illustrations pour Jerome Paturot in search of the best Republic.

    Un contrat précisait que les mêmes dessins devaient être publiés en Angleterre et en France, et dans les deux pays, les mêmes suites ont paru sous forme de lithographies et de gravures sur bois. Il est arrivé aussi qu'un même bois soit utilisé dans deux ou trois ouvrages différents : le Museum Parisien reproduit en 1841 la «Bête noire» et la «Femme à grosse tête», déjà parus dans le Figaro (1839) ; on retrouve des vignettes identiques dans le Jardin des Plantes (1842) et dans Un Hiver à Paris (1843)... C'est là d'ailleurs un usage très fréquent à toutes les époques. Il n'en est pas moins vrai que si l'on considère l'ensemble de son oeuvre, on est frappé de la richesse d'invention qui lui a permis de renouveler sans cesse des thèmes pourtant très voisins.

    Il attachait une attention égale aux sujets, aux légendes et à la manière dont le dessin était reproduit. De nombreux états avant-lettre du Cabinet des Estampes, dont beaucoup proviennent de la collection Curtis, portent des annotations manuscrites qui prouvent avec quelle rigoureuse exigence il traitait ses imprimeurs-lithographes. S'il n'a jamais lui-même creusé le bois, il suivait de près le travail de ses graveurs ; il exigeait une épreuve qu'il annotait parfois avec satisfaction : « Tout ce que M. Cherrier a gravé est parfaitement bien » écrivait-il sur un « fumé » représentant la « Bête Noire » du Museum Parisien. On trouve aussi des annotations sur des épreuves de gravures sur acier {Voyage de Gulliver, n° 91). Il arrive d'ailleurs qu'un même livre contienne des illustrations de techniques différentes {Contes du chanoine Schmid, n° 65) et certaines d'entre elles ont été rehaussées de couleurs {La Joyeuse comédie, n° 14) et parfois encadrées de papier-dentelle {Joyaux et parures, n° 70).

    L'étude des livres illustrés par Gavarni ne se limite pas à une nomenclature, ni à des considérations sur les techniques ou l'emplacement des vignettes par rapport à la typographie : elle nous invite bien davantage à déceler les affinités qui s'établissent entre l'image et le récit. Tous ceux qui ont approché Gavarni (Forgues, Banville, les Goncourt...) ont eu maintes fois l'occasion de remarquer que le dessin naissait en même temps que la légende, et que l'observation directe se mêlait à tout moment à l'imagination. Les quelques lignes (quelques mots parfois) qui accompagnent les lithographies auxquelles il avait donné tous ses soins, ont pu être groupés en recueil et devenir par leur simple juxtaposition, une oeuvre littéraire [n° 107] étincelante d'esprit, accompagnée des mêmes images, mais réduites cette fois au rôle de vignettes gravées sur bois ; par le seul changement du format et de la technique, l'écrivain devient illustrateur et l'artiste écrivain. Cette étonnante fantaisie, cette virtuosité pleine de verve se retrouvent tout au long de sa carrière. Il a illustré nombre de textes dont les auteurs étaient pour la plupart ses amis, mais il a conduit ses amis à leur tour à introduire tout vivants dans leurs oeuvres les êtres nouveaux qu'il avait lui-même, à force d'observation, imaginés.

    Bibliographie des illustrations exécutées par GAVARNI

    1° LIVRES ILLUSTRES

    Quelques-uns des ouvrages signalés ici sont rares ; aussi avons-nous cru utile d'indiquer leur référence à la Bibliothèque nationale

    Nous avons donné de préférence les cotes du Cabinet des Estampes (Est.), et, pour compléter, des cotes du Département des Imprimés (Impr.). Si certains de nos collègues possèdent ou connaissent des ouvrages illustrés par Gavarni qui auraient pu nous échapper, nous leur serions reconnaissants de nous le faire savoir.

    (1) Deux lithogr. à la plume dans l'Amirante de Castille, de la duchesse d'Abrantès, chez Delaunay, 1832, 2 vol. in-8°Impr., Y3 12.738 et 12.739.

    (2) Une pl. gravée sur bois par Porret dans Le Lorgnon, par Mme Emile de Girardin, chez Levavasseur et Gosselin, 1832, in-8° : élégant causant avec une femme assise sur un sofa, tandis qu'un troisième personnage (Emile de Girardin) regarde la scène à travers son lorgnon.Impr., Y2 49.485.

    (3) Illustr. de La Grèce, d'après des dessins d'O.M. baron de Stackelberg, chez J.-F. d'Ostervald, 1834, in-fol. sept lithogr.Impr., J. 15.

    (4) Lithogr. dans le Keepsake lyrique, 1834, in-4°.Est., Tc. III, 4°.

    (5) Illustr. gravée par Blanchard, avec Tony Johannot du t. 5 du Théâtre complet de Scribe, seconde édition, chez Aimé André, 1834, in-8°Impr., Yf. 4.686.

    (6) Une vignette, gravée sur bois par Porret, dans Au Mois de Mai, par Albert de Calvimont, chez Denain, 1835, in-8°.Impr., Y2 20.638.

    (7) Une vignette gravée sur bois par Porret dans Au pied de la Croix, par Justin Maurice, chez Valon, 1835, in-8°.Impr., Ye. 27.503.

    (8) Vignette avec divers dans le Keepsake français, par Alida de Savignac, chez Gide, 1836, in-4°.Impr., Z. 4.069.

    (9) Illustr., gravées sur bois par Porret, avec T. Johannot, Daumier, etc., pour Don Quichotte vers 1836. Fumés pour cet ouvrage.Est., Ef. 276 a.

    (10) Vignettes, avec Janet-Lange, gravées sur bois par Nargeot, dans La Peau de Chagrin, par Balzac, chez Delloye, 1838, gr. in-8°, 2 pl.Impr., Rés. m. Y3 242.

    (11) Illustr. avec divers, dans Paris au XIXe siècle, par divers, chez Beauger, 1839, in-fol. : 6 lithogr. : Le Bal Musard, Soirée travestie, Une Rencontre au Bal, un Bal costumé, Après la Contredanse, et vignettes gravées sur bois par A. Louis, Lesestre, Cherrier, etc. ; La Loge du concierge, L'Ecrivain public, Petit Savoyard, Foyer des Artistes, Un Bal costumé, Soirée travestie, Débardeurs, Le Bourgeois, Grisette.Impr., Fol. Li2 134.

    Les pl. seules publ. en album chez Bourdet jeune et déposées le 7 avril 1838.Est., Dc. 218 b rés.

    (12) Vignettes, gravées sur bois, avec divers, dans le Vocabulaire des Enfants, chez Aubert, 1838, gr. in-8°.Est., Ka. 388, 4°.

    (13) Cent illustr., lithogr. par Dollet et Dussommerard, dans La Correctionnelle, chez Martinon et Bourmancé, 1839-1840.Est., Dc. 218 a rés.

    (14) Lithogr. coloriées, avec divers, dans La Joyeuse Comédie, par Alida de Savignac et Alexis Eymery, à Liège, chez Riga, vers 1840, in-8° obl.Impr., Rés. p. Y2 2.107.

    (15) Illustr. avec divers du Musée pour Rire, par Maurice Alhoy, chez Aubert, 1840, 3 vol. gr. in-4°.Impr., Lc13, 5.

    (16) Cent quatre-vingt-dix vignettes gravées sur bois par Bara, Birouste, Faure. Gérard, Guilbaut, Lavieille, Louis, Montsigneul, Stypülkowski et Verdeil, dans Les Français peints par eux-mêmes, chez Curmer, 1840-1842, 4 vol. gr. in-8°.Est., Oa. 218, 4°.

    (17) Illustr. gravées sur bois par divers, avec divers, dans Le Prisme (T. IX et dernier des Français peints par eux-mêmes), chez Curmer, 1841, gr. in-8°.Est., Oa. 218 a, 4°.

    Retirage chez Furne et Cie, 2 vol. in-8°. Les pl. seules déposées en 1852.Est., Oa. 218 a, 4°.

    Est., Oa. 218 a, 4°. (18) Frontisp. et vignettes dans Les Anglais peints par eux-mêmes, par Kenny Meadow. Trad. par A. de Labédollière, T. I, impr. Schneider et Langrand, 1840, et T. II imp. et fonderie de Rignoux, 1841.Mq. à la B.N.

    (19) Vignettes, gravées sur bois, avec Daumier et Henri Monnier, dans l'Almanach illustré pour 1841, chez Martinon et chez Aubert et Cie, 1841. In-16.Impr., Lc22 123.

    (20) Vignettes, avec Daumier, Traviès, etc., dans La Mine des blagues, par Clovis Detranchant, chez Martinon, 1841, in-8° : une pl. : femme à grosse tête.Impr., 8° Li2 143.

    (21) Vignettes, avec Daumier, Grandville, Traviès, Lecurieux et H. Monnier, gravées sur bois par divers, dans le Museum parisien, par Louis Huart, chez Beauger et Aubert, 1841, gr. in-8° : Le Lion, La Panthère (femme à grosse tête), Le Merlan, La Mouche, La Cigale, Le Rat, Le Rat d'église, Le Rat de cave, Le Minotaure, Le Sphynx, Le Serpent, Le Chien de cour, La Bête noire (le diable), Le Paon, Le faux Lion, Le Serin, etc.Impr., Li2 142.

    (22) Illustr. gravées sur bois, de la Physiologie des Amoureux par Etienne de Neuf-ville, à Bruxelles, chez Jules Géruzet, 1841, in-8°.Est., Oa. 362 (1). 4°.

    Autre tirage, chez Aubert, 1841, in-8°.Est., Oa. 295 (18), 4°.

    (23) Illustr. avec Daumier, H. Monnier, Traviès, Boillot et Meissonier de la Physiologie de l'Anglais à Paris, par Charles Marchal, chez Fiquet, 1841, in-32.Impr., 8° Li6 45.

    (24) Soixante-cinq vignettes, gravées sur bois dans la Physiologie de l'Ecolier, par Ed. Ourliac, chez Aubert, 1841. in-8°.Est, Oa. 295 (11), in-4°.

    Réédition, sous le titre de L'Ecolier, chez Aubert et Barba (Bibliothèque pour rire, 1er série), 1850, in-fol.Est., Suppléments non reliés ;Impr., 4° Li6 I. Réédition à Poissy, imp. de Arbieu et Lejay (Bibliothèque pour rire. Les Physiologies parisiennes), 1869, in-fol.Est., Suppléments non reliés ;Impr., 4° Li6 I A.

    (25) Illustr., gravées sur bois, dans la Physiologie de la Femme, par Etienne de Neuf ville, chez Laisné, 1841, in-16.Impr., 8° Li6 17.

    Réédition chez Aubert, 1842, in-8°.Est., Oa. 295 (23),4°.

    (26) Illustr., avec Daumier, H. Monnier et Traviès, Boillot et Messonnier, de la Physiologie de la Femme honnête, par Ch. Marchal chez Lachapelle, 1841, in-32.Impr., 8° Li6 47.

    (27) Soixante-cinq vignettes, gravées sur bois, dans la Physiologie de la Grisette, par Louis Huart, chez Aubert, 1841, in-8°.Est., Oa. 295 (29), 4° - Impr., 8° Li6 60.

    Réédition sous le titre de La Grisette, chez Aubert et Barba (Bibliothèque pour rire, 1er série), 1850, in-fol.Impr., 4° L6 1.

    Défets de cet ouvrage.S.N.R.

    Réédition, à Poissy, impr. de Arbieu et Lejay (Bibliothèque pour rire), 1869. in-fol.Impr., 4° Li6 1 A.

    (28) Soixante vignettes, gravées sur bois, dans la Physiologie de la Lorette, par Maurice Alhoy, chez Aubert. 1841, in-8°.Est., Oa. 274, 4° - Impr. Li6 16.

    Réédition, sous le titre de La Lorette, chez Aubert et Barba (Bibliothèque pour rire), 1850, in-fol.Impr., Li6 1.

    (29) Illustr. gravées sur bois, avec Daumier, Janet-Lange et Valentin, de la Physiologie du Musicien, par Albert Cler, chez Aubert, 1841, in-8°.Est., Oa. 295 (15), 4° - Impr., Li6 54.

    Réédition, sous le titre du Musicien, chez Aubert et Barba (Bibliothèque pour rire, 1er série), 1850. in-fol.Impr., 4 ° Li6 1.

    Réédition, 'à Poissy, imp. de Arbieu et Lejay (Bibliothèque pour rire), 1869. in-fol.Impr., 4° Li6 1 A.

    (30) Illustr., gravées sur bois, avec Daumier, dans la Physiologie de la Portière, par James Rousseau, 1841, in-18 : trois vignettes.Impr., Li6 102.

    (31) Soixante-cinq vignettes, gravées sur bois, dans la Physiologie du Provincial à Paris, par Pierre Durand chez Aubert, 1841, in-8°.Est., Oa. 295 (10), 4° - Impr., Li6 27.

    Réédition sous le titre du Provincial à Paris, chez Aubert et Barba (Bibliothèque pour rire), 1850, in-fol.Impr.. 4° Li6 1.

    Réédition, à Poissy, impr. de Arbieu et Lejay (Bibliothèque pour rire), 1869, in-fol. Impr., 4° Li6 1 A.

    (32) Illustr. gravées sur bois, par Lavieille. Loiseau et Gagniet, avec divers, de la Physiologie du Rentier, par Balzac et Arnould Fremy, chez Martinon, 1841, in-8° : L'Escompteur, L'Habitant de Versailles.Impr. Rés., 16° Li6 177.

    (33) Illustr., gravées sur bois, de la Physiologie du Tailleur, par Louis Huart. chez Aubert, 1841 in-8°.Est., Oa. 295 (13), in-4° - Impr., 8° Li6 35.

    (34) Illustr., gravées sur bois, avec Daumier, H. Monnier et Traviès, de la Physiologie de l'Usurier, par Charles Marchal, chez Lachapelle, 1841, in-8°.Impr., 8° Li6 51.

    (35) Vignettes, gravées sur bois, avec divers, dans Autrefois ou le bon vieux temps, types français du XVIIIe siècle, par divers, chez Challamel, 1842, gr. in-8° : 4 pl. : Le Marquis, La Bourgeoise, Un Habitué de Ramponneau, La Précieuse.Impr., Li2 16.

    (36) Vignettes, gravées sur bois, par divers, avec divers dans Labruyère charivarique de la jeunesse, par Couailhac chez Ch. Warée, 1842, in-12.Impr., R. 32.483.

    (37) Pl. lithographiées et vignettes gravées sur bois, dans Le Panthéon de la Jeunesse, 1842.Mq. à la B.N.

    (38) Vignettes, gravées sur bois, avec divers dans Les Petits Français Librairie pittoresque de la Jeunesse, 1842. in-18.

    (39) Illustr., gravées sur bois, avec Daumier, Traviès et H. Monnier de la Physiologie du Chicard, par Charles Marchal chez Lachapelle, 1842, in-32. Impr., 8° Li6 103.

    (40) Cinquante-cinq vignettes, gravées sur bois, dans la Physiologie du Débardeur, par Maurice Alhoy, chez Aubert, 1842, in-8°.Est.. Oa. 280. in-4° - Impr., Li6 77

    Réédition, sous le titre du Débardeur, chez Aubert et Barba (Bibliothèque pour rire), 1850, in-fol.Impr.. 4° Li6 1.

    Réédition, à Poissy, Impr. de Arbieu et Lejay (Bibliothèque pour rire) 1869, in-fol.Impr., 4° Li6 1 A.

    (41) Illustr., gravées sur bois, avec Daumier, Traviès et H. Monnier, de la Physiologie des Demoiselles de magasin, chez Aubert 1842, in-8°.Est., Oa, 295 (4), in-4° - Impr., Li6 85.

    (42) Illustr.. gravées sur bois, avec Daumier, de la Physiologie du Lion, par Félix Deriège, chez Delahaye, 1842, in-8°.Est., Oa. 295 (8). in-4° - Impr. 8° Li6 78.

    (43) Illustr., gravées sur bois, avec divers, du Jardin des Plantes, chez Curmer, 1842-1843, 4 vol. in-4°.Impr., S. 7.708 à 7.711.

    (44) Vignettes dans De la Beauté, moyens de la conserver chez Aubert, 1843, in-16.Impr., Tc28 14.

    (45) Frontisp. et vingt-deux pl. lithographiées, une pl. gravée en taille douce par Français, vignettes gravées sur bois par Birouste, Cherrier Louis, etc., dans les Contes du Chanoine Schmid, chez A. Royer, 1843. in-8°.Impr., Rés. Y2, 1.096.

    (46) Illustr. gravées sur bois par Brevière et Noiron, des Contes fantastiques, d'Hoffmann, chez Lavigne, 1843, in-8°.Impr., Rés. Y2, 3.144.

    (47) Vignettes, gravées sur bois par J. Fagnion, Hans, etc., avec divers, dans Un Hiver à Paris, par J. Janin, chez Aubert et L. Curmer, 1843, gr. in-8° : Le Jardin des Tuileries, Le Théâtre, Bal masqué à l'Opéra, Le Flaneur, Çà et là (étudiant et grisette).Impr. Rés,, 4° Z don 206 (3).

    (48) Une lithogr. dans le Juvenile Keepsake, par Mme Eugénie Foa, Librairie pittoresque de la Jeunesse, 1843, gr. in-8».Mq. à la B.N.

    (49) Illustr., gravées sur bois par divers, avec divers, dans le Musée ou Magasin comique de Philipon, chez Aubert, 1843, in-foi. : Salon de cette année, Les Bals masqués de la Mi-Carême, Les Déplaisirs (coiffeur, sculpteur, etc.), Croquis divers : Un Ambitieux, Le Fantôme, Un Suicide (chien ayant avalé de la mort aux rats), Soumission (domestique irrespectueux). Plaisirs domestiques, Un Tournoi (lutte) etc.Impr., Z. 2.144.

    (50) Illustr., lithographiées par Régnier, des Mystères de Paris, par Eugène Sue, 1843. Deux pl. à part.Est., Suppléments non reliés.

    (51) Illustr., gravées en taille douce et lithographiées avec divers dans Les Classiques de la Table, chez Dentu, Martinon, Treuttel et Wurtz, 1844, in-8°.Impr., V. 34.917.

    Réédition, 1845. 2 vol. in-8°.Impr., 8° Z. 23.150

    (52) Quarante lithogr., avec divers, dans les Contes de Grand-Papa, chez Aubert, 1844, in-8°.Mq. à la B.N.

    (53) Quarante lithogr., avec divers, dans les Contes de ma Mère, chez Aubert. 1844, in-8°.Mq. à la B.N.

    (54) Pl., gravées sur bois, avec divers, dans Les deux Miroirs, par J.-P. Schmit, chez A. Royer, 1844, in-8°.Impr. Rés., Y2 1.097.

    Réédition, chez Mme veuve Louis Janet. 1846, in-4°.Impr.. 4° Li3 150.

    (55) Illustr., gravées sur bois par divers, avec divers dans Les Etrangers à Paris, chez Ch. Warée, 1844, gr. in-8° : une pl. : L'Anglais.Impr., 4° Li5 137.

    (56) P. et vignettes gravées par Andrew, Best, Leloir. etc.. avec divers, dans La grande Ville, chez Maresq, 1844, 2 vol. in-8° : Bain à domicile, Bouquetières en boutiques, Floueurs (escrocs), Homme de Lettres marron, Notre-Dame de Lorette, Rue Saint-Denis, Le Vent, Les Grisettes au spectacle, Une Loge d'actrice, Le Bal de l'Opéra, Les Spécialités parisiennes, Diplomates et Ambassades, Filles, Lorettes et Courtisanes.Impr. Rés.. Li3 145 A.

    (57) Lithogr., avec divers, dans Paris comique, chez Aubert, 1844.Impr. Rés., Fol. Z. don 95 (1).

    (58) Illustr. des Petits Mystères de l'Opéra, par Albéric Second, chez Kugelmann, 1844, in-8°.Impr., 8° Li5 38.

    (59) Neuf lithogr., avec Johannot et Gigoux, dans Récits historiques à la Jeunesse, par le bibliophile Jacob (Paul Lacroix) à Tours, chez R. Pornin. 1844, gr. in-8°.Impr., 8° L39 222.

    (60) Vignettes gravées par Bara, dans Les Rues de Paris, par Louis Lurine, chez Kugelmann. 1844, T. I : Rue Notre-Dame de Lorette.Impr. Rés., Lk7 6.279.

    (61) Illustr.. gravées sur bois par divers, avec divers, dans Mathilde, par Eugène Sue. chez Gosselin, 1844-1845. 2 vol. in-4°.Impr. Rés. m., Z. 53.

    (62) Pl. gravées sur bois, dans les Contes de la Famille, 1845.Mq. à la B N

    Une pl. à part.Est., Dc. 218 a. Z. b. Rés.

    (63) Illustr., avec Karl Girardet et Pauquet, gravées sur bois par l'atelier Best, Leloir, Hotelin. Régnier, du Juif errant, par Eug. Sue, chez Paulin, 1845, 2 vol. gr. in-8°.Impr. Rés., Y2 1.102 à 1105.

    Pl. à part.Est., Tb. 106, in-4°.

    Couverture de l'édition en espagnol : El judio errante, trad. par Martinez Lopez, Administración del Correo de Ultramar, 1845, gr. in-8°. Est., Suppléments non reliés.

    Réédition en espagnol. 1846. Couverture et défets.Est., Dc. 218 a. Z. b. Rés.

    Réédition en français, impr. de E. Blot, 1856, in-4°.Impr., Y2 5.547.

    Rééditions en français, impr. de E. Blot et Fils, 1871 et 1875, in-4°.Impr.. Y2 5.550 et 5.551.

    Rééditions en français, impr. de E. Blot, 1877, 1880 et 1882, in-4°. Impr., 4° Y2 253 et 2.002 - Fol. Y2 39.

    Reproductions des illustr. de Gavarni, de Célestin Nanteuil et d'Eustache Lorsay, chez Charlieu frères et Huillery, 1868, in-4°Impr., Y2 5.549.

    (64) Vignettes, gravées sur bois par Rose, Gabriel, etc. et pl. gravées sur acier, avec Tony Johannot, dans Le Comte de Monte-Cristo, par Alexandre Dumas, chez Dufour, 1846, in-8°.Impr. Rés. m. Y2 171, m. Y2 983 et 984.

    (65) Illustr., gravées sur bois par Piaud, Tamisier, Andrews, Best, Leloir, Gérard, Bara, Rouget, Porret, Brévière, Lavieille, Baulard. Diolé, Delduc, Beugnot, Loiseau, Caqué, Leblanc, Villianes, Delphine B[aron], Verdeil, Guillaumot, avec Bertall, Champin, Français, et Daubigny, du Diable à Paris, par divers, chez Hetzel. 1845-1946 ; En Carnaval, prisons, drames bourgeois, hommes et femmes de plume, boudoirs et mansardes, aux champs. Parisiens de Paris, petit commerce, ambassades étrangères et députations de province, théâtres et bals publics, cabarets, banlieue, moeurs d'atelier, boulevard de Gand, philosophes, l'épée, etc., 2 vol. in-4°.Est., Dc 218 s. 3 ; Impr. 4° Li3. 165.

    Rééditions, totales ou partielles (ces dernières, sous le titre du Tiroir du Diable) en 1850. 1851 et 1853. Réédition, 1868-1869, 4 vol. in-4°.Impr., 4° Li3. 165 B.

    (66) Vignettes et pl. gravées sur bois par Lavieille, Bara, Gérard et Boudan, dans Paris marié, par Balzac, chez J. Hetzel, 1846, in-8° : Mme Caroline (poupée), les travaux forcés (moeurs conjugales), cuisiniers, etc.Impr. Rés. p. Y2 1067 (4).

    (67) Vignettes, avec Daumier, H. Monnier, Marckl, H. Emy, etc., dans l'Almanach des Rieurs, critique, comique et prophétique pour 1847, par René Lordereau, chez Laisné, in-18.Mq. à la B.N.

    (68) Onze pl., gravées sur bois par Lavieille. dans La Danse des salons, par Henri Cellarier, chez Hetzel, 1847, in-8°.Impr. V. 34 190.

    (69) Illustr., gravées sur bois, de la Physiologie de la Coquette ; The Flirt, par Albert Smith, à Londres, chez Vizitelli, vers 1848.Mq. à la B.N.

    (70) Pl., gravées sur acier, dans Joyaux et Parures, par Joseph Méry, chez de Gonet, 1850, 2 vol. in-4°.Imp. Rés. z. 1702 et 1703.

    (71) Pl., gravées sur acier par Chanson et Geoffroy, avec divers, dans Chansons nationales et populaires de France, chez Ch. de Gonet, 1851, 2 vol. in-8°.Impr. Rés., Ye. 3688 et 3689.

    (72) Illustr., lithographiées et gravées sur bois, avec divers, des Fables de La Fontaine. Librairie pittoresque de la Jeunesse, 1851, in-8°.Impr., ye. 13020.

    (73) Illustr., gravées sur bois, avec divers de : Voyage autour de mon jardin, par Alphonse Karr, chez Curmer, 1851, gr. in-8°.Impr., S. 7755.

    (74) Illustr. de The IIlustrated London Almanach for 1852, à Londres, The Illus-trated London News, 1852, in-8° : les divertissements des douze mois. Défets.Est., Suppléments Non Reliés.

    (75) Illustr., gravées sur bois par Andrew, Best, Leloir, Pollet. etc., avec divers, de Tableau de Paris, par Edmond Texier, chez Paulin et Lechevalier, 1852-1853, 2 vol. gr. in-4° : Habitué de Mabille, Habitué du boulevard des Italiens, Turc de fantaisie, Homme-oiseau, Mascarade, Carnaval (le hussard et la hussarde), Les magasins, Le concierge, Le bourgeois, etc.Est., Ve 417, pet. fol.

    (76) Frontisp.. gravé en taille-douce, de La Cabane de l'Oncle Tom, par Beecher-Stowe. traduction de Léon Wallly et. Edmond Texier, chez Perrotin, 1853, in-8°.Impr., Y2. 70039.

    (77) Pl., gravées sur acier par divers, d'après divers dans Le Livre de beauté, keepsake pour 1854, par Lé Lespès, chez Adolphe Blondeau, 1853. gr. in-8°. Impr., y2. 3675.

    (78) Une vignette, gravée sur bois, dans La Lorette, par E. et J. de Goncourt, 3e éd., chez Dentu, 1853, in-32.Impr., 8° Li5. 148 B.

    5e éd., 1856, in-32.Impr., 8° Li5. 148 c.

    (79) Illustr., gravées sur bois, par Gérard, du Dernier Jour d'un condamné, dans le t. 1 des Œuvres illustrées de Victor Hugo, édition J. Hetzel, chez Maresq, 1853, gr. in-8°.

    Réédition, 1855, gr. in-8°.Impr. z. 5441.

    (80) Illustr., gravées sur acier, avec divers, du tome 3 des Chants et chansons de P. Dupont, chez Alexandre Houssiaux, 1854, pet. in-8°.Impr., Ye. 20839.

    (81) Pl., gravées sur acier, avec divers, dans Paris et les Parisiens au XIXe siècle..., par divers, chez Morizot, 1856, gr. in-8° : Marchande de violettes, Dame du grand monde. Bourgeoise, Marchande de pommes, Marchande de la. Halle, Marchande à la toilette, Porteuse de modes, Marchand de coco, Bohémien. Impr. Rés. 4° Li2. 191.

    (82) Quinze pl., gravées sur acier par Rouargue, dans Les Petits bonheurs, par J. Janin, chez Morizot, 1857, gr. in-8° : Le messager, Un cachemire, La charité, Un nid, La pipe, Une idée, L'affût, Une tabatière, Une truite, Les premières bottes, Le jardinage, Une montre à soi, La vigne est en fleur, Far niente, Mon cèdre du Liban (plantes en pots).Impr., R.7713.

    Réédition, illustrée de quatre pl., gravées sur bois par Pégard, 1862, in-18 : Le messager, La pipe, Le jardinage, Mon cèdre du Liban.Impr., R. 39308.

    (83) Illustr., gravées sur bois, de La Dame aux Camélias, par Alexandre Dumas fils, chez G. Havard, 1858, in-4° (le volume a été réédité en 1875, 1882, 1891).Impr. Rés. Y2 985.

    Illustr. de la pièce, d'après des aquarelles ayant appartenu à Dumas fils, chez L. Carteret. 1929.Impr. Rés. m. Y2, 323.

    (84) Illustr., gravées sur bois par Lavieille, avec Rosa Bonheur, Bertall, Daubigny, etc., des Fables-Proverbes de Berlot-Chapuy, chez Garnier, 1858, in-8°.Impr., Ye. 15404.

    (85) Quinze pl., gravées sur acier par divers, dans Les Symphonies de l'hiver, par J. Janin, chez Morizot. 1858, in-8°.Impr., Z. 50961.

    (86) Illustr. des Toquades, par Ch. de Bussy (Charles Marchal), chez Martinon et Ch. de Gonet, 1858.Impr. R. 7086.

    (87) Illustr., avec divers, d'Angleterre, Ecosse, Irlande. Voyage pittoresque, par Enault, chez Morizot, 1859, gr. in-8° : 4 pl., gravées en taille-douce par Willmann et coloriées : Charbonnier et charretier, Jeunes filles des environs de Glascow, Pipeur et forgeron, Jeunes garçons des îles Hébrides.Impr., 4° N. 310.

    (88) Pl. gravées, avec Wattier, pour Les Mille et Une nuits, trad. par A. Galland, chez Morizot, 1861, in-4°.Impr., y2. 280.

    (89) Seize pl., gravées sur acier, par Rouargue et Willmann dans Robinson Crusoé, chez Morizot, 1861, gr. in-8°. Les planches seules.Est., Tb 108, pet. fol.

    Réédition, moins illustrée, chez le même éditeur, 1862.Impr., Y2. 36624.

    (90) Illustr. de Londres et les Anglais, par Emile de La Bedollière, chez Gust. Barba, 1862, gr. in-8°.Impr., 4° Nk. 68.

    (91) Pl., gravées sur acier par divers, pour les Voyages de Gulliver, chez Morizot, 1862. in-4°.Impr., Y2. 5803.

    Réédition, chez Laplace et Sanchez, 1879.Impr., 4° Y2. 2009.

    (92) Pl., gravées sur acier par divers, pour Gil Blas, chez Morizot, 1863, gr. in-8°. Impr., Y2. 304.

    (93) Illustr., gravées sur bois par divers, des Contes de fées, par Mme Leprinee de Beaumont, Librairie centrale, 1865, in-8°.Impr., Y2. 48515.

    (94) Illustr. gravées sur bois par divers des Miettes d'Escope..., par Auguste Roussel, chez Furne, 1865, in-8°.Impr., Ye. 32571.

    (95) Illustr. des Douze Mois, par Théophile Gautier, chez A. Marc et Cie, 1869, in-fol. Défets de cet ouvrage.Est., Dc 2 18 a. Z. b Rés.

    2° ALBUMS GAVARNI

    Cette liste a pour but de compléter le catalogue de Mahérault. Pour connaitre tous les albums Gavarni, il est nécessaire de se reporter, dans cet ouvrage, aux subdivisions « Morceaux de musique », « Suites publiées isolément », et « Costumes et Modes ».

    (97) Etrennes de 1825 (signées : H. Chevalier).Est., Tf 95 rés., in-4°.

    (98) Album. Cinq pl., lithographiées par L. Noël et Weber, chez Rittner, 1832, in-fol. Deux de ces pl. dans l'oeuvre de L. Noël.Est., Dc 208.

    (99) Album. Six pl., lithographiées par L. Noël et Weber, chez Rittner, 1843. Trois de ces pl. dans l'oeuvre de L. Noël.Est., Dc 208.

    (100) Œuvres choisies, chez Hetzel. 1846, pet. fol. : reproductions, gravées sur bois, des séries Enfants terribles, Traductions en langue vulgaire, Les Lorettes, Les Actrices.Impr., 4° Li3. 167.

    (101) Œuvres choisies, chez Hetzel, 1846, pet. fol. : reproductions, gravées sur bois, des séries Fourberies de femmes, Clichy, et Paris le soir.Impr., 4° Li3, 167.

    (102) Œuvres choisies, chez Hetzel et Warnod, 1847, pet. fol. : reproductions gravées sur bois, des séries Le Carnaval à Paris, Paris le matin, Etudiants de Paris.Impr., 4° Li3, 167.

    (103) Œuvres choisies, chez Hetzel et Garnier, 1848, pet. fol. : reproduction, gravées sur bois, des séries La Vie de jeune homme et Les Débardeurs.Impr., 4° Li3. 167.

    (104) Gavarni à Londres, par Albert Smith, à Londres, chez Bogue. 1849, in-4°.Est., Tf 97.

    (105) Album grotesque et pittoresque, chez tous les principaux libraires, 1849, in-4° : suite des Gens de Paris (ayant servi à illustrer Le Diable à Paris, n° 65).Impr., 4° Li3. 171.

    (106) Œuvres choisies, chez Hetzel et Blanchard. 1857, pet. fol. : les mêmes séries, gravées sur bois, qu'aux numéros 100 à 103, et 105. Est., Tf. 96.

    Réédition, aux bureaux du Figaro et de l'Autographe, 1864.Est., Suppléments Non Reliés.

    (107) Masques et visages, chez Paulin et Lechevalier, 1857, in-8° : reproductions, gravées sur bois par Godefroy-Durand, des séries Les Partageuses, Les Lorettes vieillies, La vie de jeune homme, Le Carnaval, Fourberies de femmes, Les maris me font toujours rire, Les enfants terribles. Comédie bourgeoise, Les invalides du sentiment, La folle du logis, L'argent, Histoire de politiquer, Philosophes, Les propos de Thomas Vireloque, Les petits mordent, Populaire, Bohêmes, Les Anglais chez eux, Boite aux lettres, Balvverneries parisiennes.Est., Tf 98, in-4° ; Impr., 8° Li3. 199.

    Réédition, chez A. Delahays 1860Impr., 8° Li3. 199 A.

    Réédition, chez Dentu, 1862.Tf 98 c, in-4° ; Impr., 8° Li3. 199 B

    Réédition, à la Librairie du Figaro, 1868.Impr., 4° Li3. 199 c.

    Sous le même titre, Calmann-Lévy a publié en 1886 des reproductions en photogravure de quelques pl. des séries Histoire d'en, dire deux, Piano, Ce qui se fait dans les meilleures Sociétés, Le Manteau d'Arlequin, etc.Est., Tf 98 a, pet. fol. ; Impr.. Fol. Li3. 199 D.

    3° PERIODIQUES CONTENANT DES ILLUSTRATIONS PAR OU D'APRES GAVARNI

    (Les dates indiquées correspondent aux années au cours desquelles nous sommes certains que Gavarni a collaboré à l'Illustration des périodiques. Cela ne signifie pas qu'il ne les a pas illustrés à d'autres dates également.)

    (108) Bulletin de la Société d'Encouragement, 1825...

    (109) Le Journal des Modes, chez La Mésangère, 1826-1829.

    (110) La Caricature et La Caricature provisoire, 1830-1835, 1838-1841.

    (111) La Mode, 1831-1834. 1836, 1839, 1841, 1843, 1846, 1847.

    (112) Journal de l'Académie d'Horticulture, 1832.

    (113) Bagatelle, 1832-1833.

    (114) Journal des femmes, 1832-1836.

    (115) Journal de France, 1833.

    (116) Journal des gens du monde, 1833-1834.

    (117) L'Artiste, 1833, 1840.

    (118) Journal des jeunes personnes. 1833-1838.

    (119) La Romance, 1834-1835.

    (120) Le Musée des familles, 1834-1836, 1843, 1857, 1859.

    (121) Le Courrier des Enfants, 1835.

    (122) Le Monde dramatique, 1835-1841.

    (123) Journal des chasseurs, 1836...

    (124) Moniteur des Théâtres. 1836...

    (125) Revue cambrésienne, 1836...

    (126) Le Carrousel, 1836-1837.

    (127) Chronique de Paris, 1836-1837.

    (128) Revue des peintres, 1836-1837.

    (129) Le Cabinet de Lecture, 1837.

    (130) Paris élégant, 1837.

    (131) La Vogue universelle, 1837.

    (132) Gazette des enfants, vers 1837.

    (133) Le passe-temps des salons. 1837 à 1839.

    (134) Le Monde dramatique, 1838.

    (135) Psyché, 1838-1839.

    (136) L'Echo, 1839.

    (137) La Sylphide, 1839.

    (138) Le Figaro, 1839-1840.

    (139) Le Charivari, 1839-1848.

    (140) La France musicale, 1840-1841.

    (141) La Gazette des femmes, 1841...

    (142) La Tribune dramatique, 1841...

    (143) Le journal des ridicules, 1842.

    (144) La Renaissance, 1842.

    (145) Les Beaux-Arts, 1843-1844.

    (146) Nouveau magasin des enfants, 1843-1857

    (147) Bulletin de l'Ami des Arts, 1844.

    (148) Revue et gazette musicale, 1844-1845.

    (149) Le voyageur, 1847.

    (150) The Illustrated London News, 1848-1854.

    (151) The Puppet show, à Londres, chez Vizitelli, 1848-1849.

    (152) Le Bossu, à Londres, 1848.

    (153) Le Pasquin, à Londres, 1849.

    (154) L'Illustration, 1849-1868.

    (155) L'Eclair, 1852-1853.

    (156) Paris. 1852-1853.

    (157) La Presse Illustrée, 1853.

    (158) L'Abeille impériale, 1854-1855.

    (159) Le Musée français, 1855-1860.

    (160) L'Ami de la maison, 1856.

    (161) La Comédie, 1856.

    (162) Le Monde Illustré, 1857-1858.

    Vignette de l'image.Illustration
    Les illustrations de cet article sont tirées : l'initiale U du Muséum parisien (gravée sur bois par Lesestre) ; les débardeurs s' embrassant, de la Physiologie de Chicard (gravée sur bois par Gérard)