Alexandra Orlando

Alexandra Orlando, étudiante en master 1 CEI [cultures de l'écrit et de l'image] a participé au congrès de l'IFLA 2017 à Wroclaw en Pologne. Elle partage avec nous cette première expérience internationale.

Alexandra Orlando, étudiante en master CEI revient sur son premier congrès à l'IFLA

Parmi les conférences, présentations ou posters présentés, avez-vous remarqué de nouvelles tendances du métier ou des approches différentes qui soient particulièrement remarquables ?

Une tendance m’a marqué : le numérique et la question des droits d’auteurs. Sur cette vaste question, l’imprimante 3D constitue un angle original sur la question du droit d’auteurs et de la reproduction. La notion de propriété intellectuelle apparaît comme problématique avec l’imprimante 3D sur les questions de propriété vis-à-vis du « réel auteur ». Toutefois, ces imprimantes 3D sont intéressantes pour les possibilités qu’elle offre aux bibliothèques en termes d’animations.

 

Avez-vous été marqué pendant ce congrès par les actions d'une des sections de l'IFLA ?

J’ai été marqué par l’action de la section « Library Theory and Research », notamment sur la LIS (Library Information and Science), sur son questionnement sur les nouvelles technologies et sur l’évolution du traitement de l’information. Cette section m’a marqué pour son intérêt sur l’évolution des métiers dans les bibliothèques en rapport avec les technologies. Cette ouverture sur la technologie change le rapport entre bibliothécaires et usagers.

 

Au final, que vous aura apporté votre mobilité internationale ?

Cette mobilité m’a permis de participer à un congrès mondial de bibliothécaires, d’échanger avec des professionnels de différents pays et de découvrir des pratiques diverses pour résoudre des problèmes communs. Le congrès de l’IFLA [international federation of library associations and institutions] m’a permis de m’immerger davantage dans les problématiques actuelles du domaine, d’avoir une vision globale du domaine des bibliothèques et des tendances. Cette mobilité internationale m’a donné la possibilité de comparer deux congrès : celui de l’ABF [association des bibliothécaires de France] et celui de l’IFLA. Ainsi ai-je pu comparer les enjeux, plutôt proches de ces deux congrès.