Portrait de Riccardo Tortora lors d'une méridienne de l'Enssib sur la mobilité étudiante, dans le cadre des Eramus Days. Portrait de Riccardo Tortora lors d'une méridienne de l'Enssib sur la mobilité étudiante, dans le cadre des Eramus Days.

Rencontre avec Riccardo Tortora, étudiant italien en Master CEI et SIB à l'Enssib

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots et expliquer votre choix de la France et de l’Enssib en particulier ?
J’ai toujours eu une véritable affinité pour la langue et la culture françaises. Faire une expérience d’études en France faisait partie de mes objectifs depuis longtemps. L’Enssib m’a permis de concrétiser ce projet.

C’était d’ailleurs mon premier et unique choix dans le cadre d’Erasmus, du moment que cette école peut m'offrir la possibilité d’aborder des dynamiques académiques différentes, mais complémentaires à mon parcours en Italie. 


Comment se sont passées vos premières semaines en France et à l’Enssib ?
Dans l'ensemble, très bien. Les débuts ne sont jamais faciles, mais la ville et l'École m’ont apporté toute l’aide nécessaire. Je sens que je m'intègre de plus en plus dans les mécanismes. 

 

Qu’est-ce qui vous surprend le plus au quotidien, à l’école ou en général ?
Sur le plan universitaire, j’ai été agréablement surpris de constater que les paroles de la directrice se reflètent pleinement dans le quotidien de l’Enssib. C’est véritablement une institution à taille humaine, où l’échange, la bienveillance et le soutien sont constants.


Un conseil pour celles et ceux qui hésiteraient à partir en mobilité ?
Ne vous laissez pas freiner par la peur ni par les délais administratifs. Rester dans la méfiance n’est jamais une bonne option. Ayez confiance — et surtout, courage !