Le budget de l'année 1968 figure dans le bulletin n° 63 de l'A.B.F. Malheureusement ce bulletin, que vous deviez recevoir avant ce congrès, ne nous a pas été livré à temps. Comme je n'ai pas l'intention de vous énu-mérer une suite de chiffres fastidieux, je vous donnerai seulement quelques commentaires.
Cette année, nos préoccupations principales ont été de deux ordres :
Ces objectifs ont été atteints, mais le budget s'est trouvé tout juste équilibré.
Cette année, dans nos prévisions budgétaires, nous devons, bien sûr' tenir compte d'un plus grand nombre d'adhérents, donc d'un accroissement des recettes. Mais le Conseil de Paris ne nous accorde plus les subventions que nous recevions autrefois du Conseil général de la Seine et du Conseil municipal. Seule la Direction des bibliothèques et de la lecture publique nous octroie 2 500 F. Pratiquement nous ne devons donc compter que sur nos propres ressources.
Or, cette année :
La conséquence est que nous ne pouvons plus équilibrer le budget sans faire passer de 20 à 30 F la cotisation des membres titulaires et adhérents et sans porter à 50 F celle des membres associés.
En ce qui concerne les budgets des sections et groupes, c'est Monique Lambert qui les coordonne, les centralise, ouvre les comptes, recueille les diverses signatures, pointe les listes d'adhérents, travail ingrat s'il en fût !
Mais grâce à votre bonne volonté et à votre rapidité, pour la première fois, nous avons pu publier des budgets envoyés à temps et conformes à un « plan comptable » auquel vous avez bien voulu vous astreindre. Nous vous en remercions vivement, car nous avons tous à y gagner.